Im Entscheid 4A_337/2024 vom 18. August 2025 hatte sich das Bundesgericht neben der Frage, ob einer Kündigung missbräuchlich war, mit Fragen betreffend Forderungen im Zusammenhang mit Überstunden, Sonntags- und Feiertagsarbeit auseinanderzusetzen.
Der Arbeitnehmer machte zunächst geltend, die Kündigung seiner Arbeitsverhältnisses sei missbräuchlich gewesen. Er machte zudem Fordeurngen aus Überstunden, Sonntags- und Feiertagsarbeit geltend. Die Arbeitgeberin zahlte während den Gerichtsverfahren im Dezember 2020 freiwillig CHF 100’448.85 (brutto) als Entschädigung für Sonntag/Feiertag- und Überstunden, zuzüglich Zinsen. Der Arbeitnehmer focht die Höhe des Betrags, die Anwendung der Quellensteuer und den Zinslauf an. Eine neue Forderung des Beschwerdeführers für 17 ungenutzte Halbtage Samstagsarbeit (CHF 4’870.84) wurde vom Arbeitsgericht (23. März 2023) als unzulässig erklärt (Art. 229 ZPO, keine neuen Tatsachen). Das Arbeitsgericht sprach dem Beschwerdeführer einen Restbetrag von CHF 15’572.25 (brutto) plus CHF 635.80 (netto) Zinsen zu, wies jedoch die Klage wegen missbräuchlicher Kündigung ab. Die obere kantonale Instanz bestätigte das Urteil.
Welcher Lohn liegt der Berechnung zugrunde
Der Arbeitnehmer verlangte vor Bundesgericht, dass die Entschädigung für Sonntag/Feiertag-Arbeit auf der Basis seines Lohns bei Beendigung des Arbeitsverhältnisses (2018) und nicht auf dem Lohn zum Zeitpunkt der Arbeitsleistung (2015-2017) berechnet werde.
Das Bundesgericht bestätigte die Auffassung der Vorinstanz, wonach der zum Zeitpunkt der Arbeitsleistung gültige Lohn massgebend ist. Dies entspricht den Bestimmungen des Arbeitsgesetzes (Art. 20 Abs. 2, 22 ArG), der Verordnung 1 zum Arbeitsgesetz (Art. 33 ArGV1), den SECO-Richtlinien und dem Grundsatz, dass die Vergütung einer Arbeit an den Zeitpunkt ihrer Erbringung geknüpft ist. Eine andere Auslegung würde es Arbeitgebern ermöglichen, Zahlungen zu verzögern und von niedrigeren „historischen“ Lohnsätzen zu profitieren.
9.1. Selon lui, l’indemnité due pour les jours de repos en compensation du travail effectué le dimanche pendant plus de 5 heures devrait être calculée sur la base de son salaire horaire à la fin des rapports de travail, soit en 2018, et non sur la base de son salaire horaire durant les années considérées (2015-2016-2017), puisque cette indemnité serait due à ce moment-là. Le calcul prôné par la cour cantonale inciterait, d’après lui, l’employeur à attendre la fin des rapports de travail pour verser une prestation en argent « à un taux de salaire historique beaucoup plus bas ».
La cour cantonale a considéré que le salaire en vigueur au moment de l’exécution du travail était pertinent, non point le salaire en vigueur à la fin des rapports de travail. Les considérations du tribunal des prud’hommes qu’elle a entérinées, fondées sur les art. 20 al. 2, 22 LTr [loi fédérale sur le travail, RS 822.11], art. 33 OLT 1 [ordonnance 1 relative à la loi sur le travail, RS 822.111], les directives du SECO [Secrétariat d’État à l’économie] ainsi que le principe selon lequel la rémunération d’un travail – quel qu’il soit – est intrinsèquement liée au moment auquel ce travail est effectué, sont parfaitement correctes, n’en déplaise au recourant.
Son grief est dépourvu de fondement.
Beginn Zinsenlauf
Der Beschwerdeführer rügte vor Bundesgericht zudem, der Verzugszins auf die Entschädigungen für Überstunden und Sonntagsarbeit sollte 14 Wochen nach Ablauf jedes Arbeitsjahres beginnen, nicht erst bei Beendigung des Arbeitsverhältnisses.
Das Bundesgericht präzisierte, dass gemäss Art. 339 Abs. 1 OR alle Forderungen aus dem Arbeitsverhältnis bei dessen Beendigung fällig werden. Die Vorinstanz habe daher zu Recht den 1. April 2018 (Tag nach Beendigung des Arbeitsverhältnisses) als Beginn des Verzugszinses festgelegt.
9.2. Le recourant estime que le dies a quo retenu par la cour cantonale pour calculer les intérêts moratoires de la rémunération relative aux heures supplémentaires, au travail supplémentaire et au travail dominical est erroné : selon lui, la rémunération correspondante était due – sans interpellation (à laquelle il ne prétend pas avoir procédé) – quatorze semaines après la fin de chaque année durant laquelle les heures en question avaient été prestées, dates à partir desquelles les intérêts moratoires devaient être calculés.
Le débiteur en demeure pour le paiement d’une somme d’argent doit l’intérêt moratoire à 5 % l’an (art. 104 al. 1 CO). Selon l’art. 339 al. 1 CO, à la fin du contrat de travail, toutes les créances qui en découlent deviennent exigibles. Parmi celles-ci figurent les créances en paiement d’heures supplémentaires (cf. arrêt 4C.414/2005 du 29 mars 2006 consid. 6; BRUCHEZ/MANGOLD/SCHWAAB, in Commentaire du contrat de travail, 4e éd. 2019, n° 1 ad art. 339 CO; ADRIAN STAEHELIN, Zürcher Kommentar, 4e éd. 2014, n° 3 ad art. 339 CO). Par analogie, on peut en déduire qu’il en va de même s’agissant du travail dominical ou des jours fériés.
Ces dettes portent donc intérêt moratoire (art. 104 CO) dès ce moment-là. Ainsi, en dépit des griefs que le recourant adresse à ce raisonnement, c’est à juste titre que la cour cantonale a estimé que le point de départ correspondait au lendemain de l’expiration du contrat de travail, à savoir le 1er avril 2018, pour toutes les créances découlant du travail supplémentaire (au sens large).
Kein Abzug für Quellensteuer
Der Arbeitnehmer war während seines Arbeitsverhältnisses quellensteuerpflichtig. Hingegen wohnte er im Zeitpunkt, als die Arbeitgeberin nach Beendigung des Arbeitsverhältnisses gewisse Leistungen aus Überstunden-, Sonntags- und Feiertagsarbeit erbrachte, nicht mehr in der Schweiz. Dennoch nahm die Arbeitgeberin einen Abzug für Quellensteuern vor.
Der Arbeitnehmer bestritt die Rechtmässigkeit des Quellensteuerabzugs (CHF 19’840.65) auf die ihm im Dezember 2020 ausbezahlte Entschädigung (das Arbeitsverhältnis hatte 2018 geendet), da er zu diesem Zeitpunkt nicht mehr in der Schweiz wohnhaft oder erwerbstätig war.
Das Bundesgericht bestätigte die Rechtmässigkeit des Abzugs. Quellensteuern betreffen ausländische Arbeitnehmer ohne Niederlassungsbewilligung für Einkünfte aus unselbständiger Erwerbstätigkeit. Der Arbeitgeber sei zwar Schuldner des Betrags, aber nicht der Steuerpflichtige (Steuersubstitution); er sei lediglich zur Einbehaltung verpflichtet. Entscheidend sei der Zeitpunkt der Arbeitsleistung, in welchem der Arbeitnehmer in der Schweiz quellensteuerpflichtig war. Eine Verzögerung der Zahlung würde den Zweck der Quellensteuer untergraben. Dem Arbeitnehmer stehe es aber frei, seine Argumente bei der zuständigen Steuerbehörde geltend zu machen.
9.3. D’après le recourant, l’employeuse n’avait pas à déduire et à acquitter l’impôt à la source de 19’840 fr. 65 sur la rémunération brute qu’elle lui a versée en décembre 2020 (soit 100’448 fr. 85; cf. supra let. B.a). À ce moment-là, il n’avait plus ni rattachement personnel (il n’était plus domicilié ou résident dans ce pays), ni rattachement économique (il n’était plus présent sur le territoire suisse et n’y avait ni travail, ni biens) en Suisse.
L’impôt à la source (art. 83 ss LIFD [loi fédérale sur l’impôt fédéral direct, RS 642.11]; art. 32 ss LHID [loi fédérale sur l’harmonisation des impôts directs des cantons et des communes, RS 642.14]) concerne notamment les travailleurs étrangers domiciliés ou en séjour en Suisse, sans être au bénéfice d’un permis d’établissement (notamment art. 83 al. 1 LIFD; art. 32 al. 1 LHID). Il englobe tous les revenus provenant d’une activité lucrative dépendante, y compris les revenus accessoires, les avantages appréciables en argent dérivant de participations de collaborateurs et les prestations en nature (art. 84 al. 2 LIFD; art. 32 al. 4 LHID). Il est perçu dans le chef du débiteur du revenu imposable (ici l’employeur). Celui-ci n’est toutefois pas le contribuable de l’impôt; il ne fait que représenter le contribuable (substitution fiscale) (BLUMENSTEIN/LOCHER, System des schweizerischen Steuerrechts, 8e éd. 2023, p. 110; XAVIER OBERSON, Droit fiscal suisse, 5e éd. 2021, p. 350 n° 3). L’employeur a l’obligation de retenir l’impôt, de remettre au contribuable un relevé ou une attestation et de le verser périodiquement à l’autorité fiscale compétente (cf. art. 88 et 100 LIFD; arrêts 2C_60/2020 du 27 avril 2021 consid. 6.1, publié in RDAF 2021 II 552; 5A_816/2022 du 29 mars 2023 consid. 6.3.1.2).
Le recourant estime qu’il n’émarge plus à l’impôt à la source en raison du fait que, lors du versement querellé effectué à la fin de l’année 2020, il n’était plus domicilié ni en séjour en Suisse. La cour cantonale lui a rétorqué que la somme en cause avait été versée pour une relation de travail qui existait alors que le recourant était encore en Suisse et imposable à la source, ce qui était seul déterminant; elle l’a renvoyé à faire valoir auprès de l’administration fiscale des circonstances justifiant un remboursement en sa faveur, s’il l’estimait approprié.
Ces considérations sont empreintes de bon sens. S’il suffisait de retarder le versement d’un salaire pour échapper à l’impôt à la source, le but de cet impôt – une sûreté que ces revenus soient taxés, ce que le recourant souhaiterait précisément éviter en arguant du déplacement de son domicile à l’étranger dans l’intervalle – pourrait trop facilement être contourné. En tout état de cause, l’autorité de céans ne peut que répéter qu’il reste loisible au recourant de faire valoir ses arguments devant l’autorité fiscale compétente.
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Autor: Nicolas Facincani
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